De nombreux gouvernements s’y sont cassés les dents. Après des années de communication, d’occupations partielles par les flics du territoire de la ZAD, de coups tordus, d’expulsion et de tentatives d’expulsions, de propagande, de référendum, de concertations, l’État a semble décidé d’expulser les occupants de la Zone à Défendre (ZAD) de Notre-Dame-des-Landes à coup de blindé, militaire d’élite, drone et en toute illégalité.