C’est cagoulés et avec l’appui tactique d’un drone et de plusieurs escadrons de policiers en équipement que la préfecture et la police rouennaises ont voulu laver l’affront qui leur avait été fait lors de la manifestation du 1er mai : un bâtiment avait été en effet occupé par 200 manifestants alors que tout le dispositif d’Etat les attendait ailleurs...