Suite à l’abandon du projet d’aéroport, le gouvernement a tout mis en œuvre pour se venger et mettre un point final à des années d’expérimentations collectives insolentes. Malgré la signature, en juin, d’un lot de conventions sur les terres occupées, la zad est toujours en lutte pour son avenir. Pour le maintien de la zad et de ses multiples formes de vie, retrouvons-nous le week-end du 29-30 septembre !