Bolsonaro a présenté le 5 février dernier un projet de loi visant la vente des terres indigènes aux industries d’extraction, pas vraiment une surprise de la part du président Brésilien, mais le manque de réaction en reste une. Cette annonce est bien plus importante écologiquement que les récents incendies, tant le caractère irréversible semble condamner à un fin certaine les peuples et leurs terres, sachant que l’un ne va pas sans l’autre.