Le rendu de l’occupation a eu lieu début août pour le squat de la Garenne et ses occupants.
Le tribunal n’a pas retenu la voie de fait demandée par la partie adverse et a donc donné le très petit délai de deux mois. Deux mois pour que 200 personnes puissent trouver une solution d’hébergement. Aucune autre solution n’a pour l’instant été proposée par la mairie ou la préfecture pour un relogement futur.