Depuis 1912 et les premiers gazs lacrymogènes, on voit se mutltiplier l’utilisaton, par la police et l’armée, d’armes à létalité réduite. Plus couramment appellées « armes non-létales », elles, et le système qui les encadre, font pourtant une quinzaine de morts par an.
Grenades, Flash-Balls, Taser, la militarisation du maintien de l’ordre répond à une volonté de réprimer la moindre rébellion, la moindre résistance, la moindre déviance. Que ce soit dans les quartiers ou pendant un mouvement social, contre des (...)