Marche aux flambeaux à Rouen à l’occasion de la Journée internationale pour les Exilées le mardi 18 décembre.

Marche aux flambeaux à Rouen à l’occasion de la Journée internationale pour les Exilées le mardi 18 décembre.
« Nous savons maintenant que la Terre n’est qu’un point dans l’Univers. A part le nôtre, quantité d’autres mondes existent, et l’astronomie en découvre toujours des nouveaux, dans l’infini. » Ou comment penser la gestion de « l’autre », de « l’étranger ».
Un rassemblement était appelé aujourd’hui à 13h place de la Cathédrale en soutien aux migrants et surtout aux mineurs isolés. Récit bref et énervé de quelques personnes présentes à la manifestation.
Quelles que soient les résistances, elles commencent généralement avec une histoire de cantine populaire, parce que le besoin premier de tout humain est de se nourrir, le suivant de se soigner et de s’abriter. Se donner les moyens de l’autonomie, mais surtout les donner à d’autres, me semble un préalable nécessaire à la multiplication du nombre de celle.ux qui luttent.
La mobilisation continue à la faculté de Rouen : une assemblée générale aura lieu le 20 novembre sur l’esplanade de la faculté de Lettres à 10h et le jeudi 22 novembre l’ensemble du personnel et les étudiants en lutte appellent à manifester à 13h au départ de la cathédrale. Voici leur communiqué.
Une tentative d’occupation a eu lieu dans l’amphithéâtre d’honneur de la faculté de Lettres de Rouen, dans le but d’y loger les mineurs isolés et expulsés de plusieurs lieux ces dernières semaines par l’Etat.
Face à une situation insupportable de persécutions des personnes exilées à Rouen, notamment avec l’expulsion de deux occupations en une semaine, plusieurs collectifs s’organisent et lancent un appel à manifester samedi 27 octobre.
Une immersion sonore dans les hautes-alpes à l’occasion du camping de lutte Passamontagna, par Le chant des meutes, une émission de Radio Canut. On tente de décrypter la situation dans cette zone frontalière à travers le témoignage de celles et ceux qui l’habitent et qui la traversent.
Récit d’une tentative d’occupation pour les migrants à Rouen.
Ce jeudi à 17h30 avait lieu un rassemblement en soutien à la Garenne et contre la loi Elan qui criminalise encore plus les occupations de bâtiment - principalement depuis qu’elles sont une solution d’urgence pour loger les migrants qui affluent.
Le jour de l’expulsion approche à grands pas, les occupants et leurs soutiens préparent la résistance avec de nombreux rendez-vous.
A l’initiative des Amigrants de Rouen, , Réseau Solidarité Migrants-Rouen, ASTI de Petit Quevilly, Pour un avenir meilleur.
Avec le soutien de Médecins du monde.
Le 7 août dernier, le tribunal d’instance prononçait l’expulsion de l’immeuble la Garenne. Le délai accordé pour quitter les lieux avait été fixé à deux mois, c’est-à-dire le minimum prévu par la loi. Passé ce délai, le lieu pourtant salubre et adapté à recevoir des personnes, sera immédiatement expulsable par la force.
Le rendu de l’occupation a eu lieu début août pour le squat de la Garenne et ses occupants.
Le tribunal n’a pas retenu la voie de fait demandée par la partie adverse et a donc donné le très petit délai de deux mois. Deux mois pour que 200 personnes puissent trouver une solution d’hébergement. Aucune autre solution n’a pour l’instant été proposée par la mairie ou la préfecture pour un relogement futur.
Cinq jours pour partager des réflexions, expériences et pratiques de lutte contre les frontières et les États qui les ont créées.
« Gaspard et son chien s’enfuient dans la forêt. L’enfant a peur, il a froid, il a faim, il court, il trébuche, il se cache. Il est blessé. Un homme le recueille. Qui est ce Jean-le-blanc ? Un sorcier, un contrebandier, un professeur ? Avec lui, et d’autres récalcitrants - ceux de la Caravane à Pépère qui défraya la chronique au début du XXe siècle - Gaspard va découvrir la vie en marchant sur le monde. »
Extraits du roman de Thomas Vinau, paru aux éditions Alma Editeur en 2017 qui revient sur les origines des « Brigades du Tigre », police spéciale de Clemenceau.
Ce matin, vendredi 17 août 2018, la police a expulsé l’occupation rue de Falaise à Caen.
Deux mois de plus pour que 200 personnes trouvent une solution d’hebergement avant l’expulsion.
Tout commença le 19 mai dernier. À l’instar de ses aînés de Nantes, de Paris ou de Caen, la Garenne naissait sur cette simple idée : celle que personne n’est illégal. Le sort de 200 personnes est suspendu à une décision de justice.
Après plusieurs mois de rencontres, d’échanges, de recherches et d’ateliers entre des personnes directement concernées par les mesures de délogement, le Collectif Anti-expulsions Lille présente sa brochure d’autodéfense et d’actions collective face aux expulsions, quelle que soit sa manière d’habiter : occupations de terrains, locations, squats, résidences étudiantes…
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